Capter l’attention d’une audience : un vrai travail de réflexion

Ingénierie pédagogique

Réflexion

05 Décembre 2022

Crédit photo : Julius Drost

Et oh, et oh, regardez par-là ! Pas si évident de capter l’attention. Lorsque nous souhaitons partager une information à une audience, qu’elle soit initialement intéressée ou novice sur le sujet, le plus difficile n’est pas tant qu’elle mémorise ce que nous venons d’énoncer (même sur une courte période), mais qu’elle soit happée par nos propos, désireuse d’aller plus loin. Bien sûr, certaines thématiques seront davantage susceptibles de lui plaire. Apprendre des méthodes pour mieux organiser son agenda intéressera éventuellement plus que la pêche du homard (quoi que) ! Or, comment capter l’attention lorsque le niveau d’attention de la population décroît ? En effet, si la durée moyenne d’attention d’un individu était de 12 secondes au début des années 2000 (selon une étude réalisée par Microsoft en 2015), elle serait passée à 8 secondes aujourd’hui : une chute qui témoigne de la complexité de s’exprimer devant un public et de la denrée rare qu’est devenue l’attention ! Mais d’ailleurs, de quelle “attention” parlons-nous ? De la capacité à nous concentrer ou à prendre soin d’une personne ? Pour cet article-ci, nous nous appuierons principalement sur le premier sens, soit le fait de parvenir à focaliser son esprit sur une idée, quelque chose ou quelqu’un. En espérant que cet article vous capte…

Faire preuve d’attention

L’attention sélective

Avant de s’intéresser aux méthodes les plus pertinentes pour capter l’attention, nous avons souhaité vous partager les principaux types d’attention qui existent et le premier auquel nous allons nous intéresser, c’est l’attention sélective. Celle-ci démontre que lorsqu’un individu est confronté à plusieurs informations, celui-ci va consciemment ou inconsciemment en retenir certaines et en laisser de côté d’autres. De lui-même, il va décider de se focaliser sur une seule information, car il sait que c’est la meilleure chose à faire pour être efficace. Vous vous rendez dans un restaurant avec l’un de vos amis et êtes ainsi dans un environnement plutôt bruyant, vous allez en principe vous concentrer sur la discussion que vous avez avec celui-ci (ou essayer du moins) et non pas sur les échanges ayant lieu autour de vous.

Un autre exemple pour lequel vous faites preuve d’attention sélective, c’est lorsque vous visionnez la vidéo, que vous avez peut-être déjà vu d’ailleurs, dans laquelle plusieurs individus se lancent une balle et où il est demandé à celui qui regarde, de compter les passes (si vous souhaitez la voir ou la revoir, c’est ici). Notre vision, étant parfois tellement focalisée sur le nombre de passes effectué, explique que nous ne voyons pas toujours la personne déguisée en gorille. À l’inverse, les personnes qui s’attendent à le voir, vont effectivement le remarquer mais ne constateront pas forcément le changement de couleur du rideau qui s’est opéré, ni même que le nombre d’individus réalisant les passes a été réduit (oups, maintenant vous le savez) ! Pourquoi donc ? Parce qu’ayant éventuellement manqué le gorille lors du premier visionnage, les personnes derrière leur écran, chercheront le gorille tout au long de la vidéo.

L’attention divisée

Il existe également, ce que l’on appelle “attention divisée” ou “attention partagée”. Celle-ci permet de traiter simultanément plusieurs informations pertinentes. Vous la pratiquez si vous conduisez une automobile. En effet, durant votre conduite, vous devez aussi bien prêter attention aux autres véhicules qui circulent, arrivent sur la voie, ralentissent ou accélèrent qu’aux feux et panneaux de signalisation, à la météo, aux piétons, aux animaux, etc. Mais plus les informations à traiter en même temps sont nombreuses, plus le risque de produire une (ou des) erreur(s) se fait plus fort. L’attention divisée a ses limites !

Vous pratiquez également ce mode d’attention lorsque vous prenez des notes durant une réunion, une conférence, un webinar… Vous écrivez ce qui vient d’être dit quelques secondes auparavant, tout en écoutant ce qui est dit actuellement afin de l’écrire par la suite. Ainsi, ce que vous notez est différent de ce que vous entendez, demandant ainsi une concentration pas si évidente que cela. Le secret : régulièrement alterner entre ces deux tâches. Par exemple : 10 secondes d’écoutes, puis 10 secondes d’écriture. Automatiquement, vous allez répéter le schéma suivant : vous faites des micro-pauses dans votre prise de notes pour écouter ce qui est dit, puis vous concentrez sur votre écrit pour ne pas perdre le fil.

Un dernier exemple d’attention divisée, encore plus parlant pour nous tous : l’envoi de messages en même temps que nous marchons dans la rue, traversons des passages piétons. Bien entendu, nous n’avons pas tous la même aisance pour réaliser ces deux actions simultanément, mais voyez comment nous le faisons régulièrement (si ce n’est pas nous, nous le constatons dans la rue). Pour éviter tout danger (pour nous et pour les autres) et nous assurer que nous prenions la bonne direction, nous lançons alors des regards furtifs vers l’extérieur. La fréquence de ces regards et leur durée, varieront suivant notre habilité et notre environnement extérieur.

L’attention soutenue

Une troisième attention que nous pourrions citer : l’attention soutenue, soit la capacité à maintenir un haut niveau d’efficacité lors d’une activité longue, qui demande une certaine rigueur, voire un effort intellectuel. Si vous participez à une compétition de tennis, vous savez pertinemment que durant plusieurs heures, vous vous devrez d’être concentré(e) et pour cela, vous vous mettrez volontairement dans votre bulle, réaliserez éventuellement les rituels qui vous rassurent, exploiterez ce que vous avez appris en entraînement, etc. Le risque si vous n’effectuez pas ces actions-ci, c’est de multiplier les mauvais envois de balles, de mal les réceptionner et de finalement laisser votre adversaire prendre l’avantage.

Dans notre travail au quotidien, il y a des tâches que nous différencions des autres, car nous nous savons que nous nous devons de concentrer notre esprit à 100% sur ces tâches-ci. D’ailleurs, la rédaction même de cet article, qui est une mission prenant plusieurs heures, a dû nécessiter une attention soutenue, couplée d’une attention sélective !

Si vous rédigez une proposition de stratégie à un client, cette mission étant plus longue et à forte valeur ajoutée, il est préférable que vous y consacriez plusieurs heures, fassiez preuve d’auto-discipline et appliquiez en fait la loi de Carlson. Cette loi du temps explique qu’un travail réalisé en continu prendra moins de temps qu’un travail réalisé en plusieurs fois. Dans le cadre de votre mission de conseil à un client, vous pourriez vous isoler physiquement dans une salle, mettre un casque, couper vos notifications (ou vous obliger à ne pas les consulter) durant une durée déterminée assez longue (2 à 3h), répondre aux sollicitations de vos collègues une fois seulement le temps fixé terminé. Couplée avec une bonne gestion du temps, il vous sera plus facile de faire preuve d’attention soutenue.

Capter l’attention d’une personne : une ressource rare

Faire preuve d’attention est une activité pas si évidente que cela, et capter l’attention l’est d’autant moins quand on sait que nous sommes dans une ère de l’économie de l’attention. À partir des années 1970 et encore plus depuis le milieu des années 1990, l’économie traditionnelle s’est orientée vers une économie de l’attention, nous affirme Yves Citton, professeur de littérature à l’université de Grenoble, dans son ouvrage “L’économie de l’attention. Nouvel horizon du capitalisme ?”.

Quand on y pense, c’était autrefois aux consommateurs de fournir des efforts pour accéder à l’information. En effet, ceux qui disposaient du budget nécessaire, commandaient des livres illustrés copiés à la main; et attendaient patiemment plusieurs semaines afin de se procurer le savoir recherché. Aujourd’hui, lorsqu’une question vient à l’esprit d’une personne, celle-ci va essayer de trouver instantanément la réponse (ou la trouve le plus souvent) sur Internet. Ce ne sont plus les créateurs de contenus qui se font désirer, mais leurs utilisateurs !

Essayez d’obtenir l’attention d’une personne, que ce soit pour lui communiquer une information (ex: nous organisons une conférence jeudi prochain et nous aimerions vous convier), lui vendre un produit ou un service (ex: notre gamme de pâtes complètes vous apportera plaisir et équilibre), et vous constaterez qu’il n’est pas aisé d’intercepter son attention lorsque cette personne rencontre à chaque instant, pléthore d’informations. Plus de 2 milliards de sites internent existent, plus 600 heures de vidéos sont chaque minute ajoutées sur Youtube, plus de 50 000 contenus Instagram sont chaque minute diffusés (source : Internet Live Stats). L’info-obésité a modifié les usages. Les créateurs de contenus et toute personne souhaitant adresser un message, doivent plus longuement réfléchir à la meilleure stratégie à adopter pour qu’on les attende. C’est pourquoi, nous avons inscrit ci-dessous quelques axes sur lesquels s’orienter pour récolter ce bien si précieux : l’attention des gens !

Comment maintenir l’attention d’une personne ?

Faire preuve d’empathie

Pour intéresser une audience, quelle qu’elle soit, il convient de la comprendre. Les entreprises qui proposent des services ou produits à un public, réalisent en amont des recherches sur les consommateurs qu’ils souhaitent toucher : quelle est leur situation socio-démographique ? quelles sont leurs habitudes de vie ? qu’aiment-ils ? qu’est-ce qui les agacent ? que consomment-ils ? de quelle façon utilisent-ils les réseaux sociaux ? quels sujets leur tiennent à cœur ? quand quel état d’esprit sont-ils à un instant précis ? … Plus on les connaît en détails, plus on est mesure de s’adresser à eux en utilisant les bons codes. Vous avez constaté que vos prospects consultaient le plus souvent Linkedin, le jeudi matin de 7h30 à 8h, et qu’ils étaient plus à même d’interagir si le post contenait un selfie et débutait par une problématique qu’ils expérimentaient régulièrement. De cette observation, vous allez volontairement diffuser un post Linkedin avec les éléments que vous avez relevés, et ainsi faire preuve d’empathie.

Avoir une communication non-verbale assurée

Chez SEVEN, lorsque nous réalisons des modules sur la communication ou la prise de parole en public, nous commençons en partageant trois chiffres : le 7, le 38 et le 55. À la suite de plusieurs questions/réponses, nous en venons à la théorie d’Albert de Merharbian. Ce psychologue a démontré, après des études réalisées en 1967 sur un panel de femmes, que notre communication verbale aurait 7% d’impact sur autrui, que notre communication vocale en aurait 38% et que notre communication visuelle en aurait 55%. Des résultats qui témoignent de l’influence du langage non-verbal dans nos messages. Des yeux qui brillent, une posture assurée, des mains confiantes, des gestes de stress gommés appuieront plus volontiers sur la qualité de notre discours.

Ainsi, peu importe le canal que vous utilisez pour faire passer votre message (vidéo, téléphone, article, mail, rencontre, etc.), gardez en tête que la forme jouera pour beaucoup sur l’écoute de votre message. Au sein d’un article, la police utilisée, les différences de tailles d’écriture, les couleurs choisies, les espacements entre les mots et les paragraphes, le choix de placer tels éléments au début et à la fin… donneront plus ou moins envie de consulter une partie ou l’intégralité du contenu. Capter l’attention via un contenu, passe d’abord par ce que l’on voit avant même d’en comprendre le sens, de lire ce qui est inscrit.

Les équipes de graphisme et de communication, ont régulièrement des choix stratégiques à faire lorsqu’ils veulent attirer le regard d’une personne, que ce soit via des affiches disposées à proximité de transports en commun, sur des routes ou encore via des bannières publicitaires visibles sur des sites ou des réseaux sociaux. Repensez aux affiches/ bannières en ligne qui vous ont intrigué(e) ? Est-ce en raison de la photo choisie ? Du contraste du premier plan et de l’arrière-plan ? Des lignes de force présentes, toutes orientées sur un détail en particulier ? De l’association des couleurs ? Du slogan, des mots inscrits, du ton employé ? Des émotions particulières, ont-elles été réveillées en vous ? L’agencement des informations, a-t-il été fait avec réflexion et efficacité ? Lorsque l’on sait que les lecteurs ont tendance à privilégier une lecture en Z, on veillera davantage à placer l’information prioritaire dans le coin supérieur gauche de l’affiche et à inscrire les autres informations pertinentes le long de la trajectoire en Z, en pensant bien au coin inférieur droit qui clôture le regard du spectateur.

Faire passer chaque personne d’une posture passive à active

Lors des formations SEVEN, nous encourageons tous nos intervenants à se concentrer sur l’expérience vécue par les participants. En faisant l’effort de se mettre à leur place, les intervenants sont plus à même d’ajuster leur contenu afin que personne ne s’ennuie, que tous apprennent des concepts qui leur servent et deviennent acteurs de la formation. Pour cela, ils débutent tous leurs interventions par un ice breaker. Concrètement, avant même de se présenter, d’expliquer le déroulé de la formation ou les objectifs, l’intervenant convie les participants à réaliser une action, à répondre à une question ou à effectuer une tâche simple. Les participants n’ont d’autres choix que d’être dans une posture active et non-passive. L’ice breaker se termine par une conclusion qui fait le lien avec la thématique de la formation.

Par exemple, dans un atelier sur la gestion d’équipe, nous invitons les participants à se mettre deux par deux, à prendre la main de l’autre personne, et à essayer de marquer le plus de points possibles en essayant que le dos de la main de l’autre personne touche la table. Ils réalisent cet exercice durant trois rounds. Ils nous partagent les résultats de chacun des tours, nous les observons ensemble et débriefons des faits observés.

Utiliser les intelligences multiples

Parce qu’il n’y a pas une seule, ni même deux intelligences, mais davantage (sept selon H.Gardner) et que chacun a ses compétences et sa personnalité, il est préférable de jouer avec les différents types d’intelligences lorsque l’on veut capter l’attention. Nous veillons à les utiliser au maximum dans le cadre des formations. Ainsi, pour mobiliser l’intelligence logico-mathématique des participants, nous leur proposons des énigmes, des activités faisant appel à leur capacité de raisonnement. Pour stimuler leur intelligence verbo-linguistique, nous les invitons à écrire des contenus, à lire. Pour qu’ils réfléchissent aussi bien seuls qu’avec autrui, nous mettons en place des temps d’introspection (mobilisant ainsi leur intelligence intrapersonnelle) et d’échange (mobilisant ainsi leur intelligence interpersonnelle). Pour qu’ils ne soient pas toujours statiques, nous les invitons parfois à se lever pour réaliser des jeux de rôle ou présenter leur projet. D’autres fois, nous leur donnons des activités manuelles car nous savons la force du toucher comme étant un vecteur de mémorisation. Une autre intelligence, qu’ils développent peut-être moins et qu’il faut malgré tout entretenir : l’intelligence visuo-spatiale. Celle-ci désigne la capacité à utiliser des images mentales, à visualiser dans sa tête quelque chose que l’on ne voit pas actuellement, pour comprendre, avancer, prendre des décisions. Une activité que l’on propose lors des team buildings entreprise, c’est la construction d’une tour de Légo. On demande aux participants de construire, par groupe et le plus rapidement possible, la tour la plus haute, la plus économique et la plus belle. Lors de cette activité, ils imaginent de quelle façon ils voient la tour et placent ensuite les Légos.

Créer la surprise

Capter l’attention, c’est soudainement changer de sujet, délivrer une information innovante (ex: une statistique, une breaking news, etc.), demander à la personne en face de nous de réaliser une nouvelle action, faire soi-même une action que l’autre n’a pas l’habitude de voir de notre part. Si vos réunions étaient jusque-là très monotones avec exclusivement des moments théoriques sans interaction et des courts temps de questions/réponses à la fin, et que vous décidiez de modifier ce format en y incluant au tout début un sondage où vous invitez vos collègues à s’exprimer, la probabilité que vous captiez leur attention (ne serait-ce sur la première partie de la réunion) sera plus forte. Parce que ces derniers auront fait l’effort de partager leur avis, seront curieux de connaître les retours de leurs collègues et intéressés par les résultats de l’enquête, les participants de la réunion seront particulièrement attentifs.

Le phénomène de la surprise, couplé à la rareté de la situation (ici, c’est la première fois que les salariés répondent à un sondage en réunion) et à l’élargissement de la connaissance d’autrui (les résultats de l’enquête sont une façon de mieux connaître le point de vue de ses collègues) auront pour effet de les intriguer. Une autre méthode qui surprend, c’est le Nudge Marketing. Vous rencontrez des applications de Nudge notamment lorsque vous prenez des escaliers-piano à la place des escalators. Toutes les actions de Nudge interpellent en fait les consommateurs car elles parviennent à faire faire des actions aux consommateurs, dont l’impact est positif tant pour eux que pour la société.

Focaliser son attention sur un (ou des) sujet(s) en particulier demande nécessairement de fournir un effort. Nous fournissons ce travail quand nous faisons preuve d’attention sélective (=on se concentre sur un élément et faisons abstraction du reste), d’attention divisée (=on jongle entre deux actions) ou encore d’attention soutenue (=on fait preuve de rigueur, réflexion sur une période longue). Toutefois, étant tous humain, il est naturel qu’à partir de 10/15 minutes, il y ait un risque de décrochage. Ce n’est d’ailleurs pas anodin, si les conférences TED se sont limitées à un format maximal de 18 minutes ! Peut-être devraient-elles à nouveau réduire cette durée ? Au-delà des raisons scientifiques qui peuvent expliquer la baisse naturelle de concentration d’un individu sur un sujet en particulier, la multiplication des distractions (notifications, bruits extérieurs, etc.) et sollicitations (mail, appels, publicités, etc.) a accentué la difficulté pour chaque personne de rester attentif sur un sujet.

Capter l’attention est ainsi devenu l’un des défis de ce siècle. En adoptant quelques méthodes, il est possible d’interpeller une audience. Parmi les actions existantes pour capter l’attention, on pourrait citer : la fine connaissance de son audience, le soin porté au visuel, le fait de faire réaliser des actions à autrui qui le rendent actif et non passif, l’usage d’intelligences multiples et la surprise. Cette liste n’est pas exhaustive et pourrait s’étendre mais parce que nous avons conscience qu’un contenu particulièrement long, augmente le risque de perdre votre attention (et c’est normal), nous préférons nous arrêter ici et garder le reste pour de prochains articles.

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