Capter
La gorge nouée, le ventre serré, les mains moites, l’accélération des battements du cœur, nombreux sont ceux qui peuvent ressentir ces symptômes avant de débuter une prise de parole en public ! La peur est naturelle. Les comédiens, chanteurs, musiciens, danseurs, candidats, hommes et femmes politiques, et parfois même les Seveners (c’est le petit nom de nos intervenants) avant de commencer une formation Seven, sont confrontés à ce type de situations. Quand nous ne connaissons pas encore le profil de notre public, ne savons pas de quelle façon celui-ci va réagir et expérimentons de la nouveauté, il est logique d’appréhender, d’imaginer les pires situations possibles (cf la loi de Murphy qui soutient que tout ce qui est susceptible de mal se passer, se passe nécessairement mal) !
Dans une certaine mesure, l’appréhension peut être un indicateur positif. En effet, lorsqu’avant une formation, nos intervenants nous confient avoir le tract (certains ne l’ont pas et réussissent parfaitement), nous leur répondons que leur ressenti témoigne de leur volonté de s’impliquer et montre qu’ils ne se reposent pas sur leurs acquis. Pour que leur inquiétude s’estompe et cède sa place au plaisir de prendre la parole et surtout pour que l’audience soit conquise, nous invitons nos intervenants (et toutes les personnes qui s’apprêtent à prendre la parole en public) à particulièrement soigner leur début. Pourquoi ? Parce qu’avec une introduction réussie, le public sera plus enclin à partager son point de vue, contribuer aux ateliers et plus attentif tout le long.
L’importance du début se constate au travers de nombreux exemples de la vie quotidienne. Si les 10 premières secondes d’une vidéo Youtube vous plaisent, vous poursuivez son visionnage. Si la vitrine d’un magasin vous intrigue, il est probable que vous y entrez tout de suite ou plus tard. Si la bande-annonce d’un film vous interpelle, vous vous notez de le voir ou de le regarder ultérieurement. Les premières impressions sont capitales, on ne vous apprend rien. Chez Seven, dans le cadre de nos formations, nous avons conscience de l’impact des débuts, c’est pour cela que lorsque nous accompagnons nos intervenants, nous sommes très exigeants sur la manière dont ils commencent. Nous les invitons même à passer autant de temps à répéter leur introduction qu’à travailler le reste de la formation.
Parce que nous souhaitons donner à chacun le pouvoir d’agir et de se réaliser, nous vous partageons dans cet article, des actions qui, associées ensemble, feront que les débuts de vos discours seront réussis et par ricochet que l’intégralité de votre message sera mémorable. Avec nos Seven conseils, nous vous confions le secret pour une prise de parole en public réussi : travailler ses débuts.
La première impression est clé et encore plus la phrase de départ que vous prononcez lors d’une prise de parole en public. Les tous premiers mots que vous allez énoncer, le niveau de langage que vous allez choisir, le ton que vous allez employer, la posture que vous allez adopter, la sympathie que vous allez dégager, le regard que vous allez porter… tous ces éléments influeront sur l’image (bonne ou mauvaise) que vous allez renvoyer de vous auprès des autres. Votre communication à part entière (qu’elle soit verbale, vocale et visuelle) impactera considérablement votre public. Suivant ce que vous allez dire et la façon dont vous allez le prononcer, votre audience pourra être émue, penser à un souvenir heureux, prêter un sourire, creuser un sujet qui l’interpelle… Pour bien choisir votre accroche, il convient de prendre en compte les éléments de contexte (à qui s’adresse-t’on ?, à quelle occasion intervient-on ? de combien de temps dispose-t-on ? etc.), de définir la forme de votre discours (argumentatif, explicatif, descriptif, injonctif, etc.) et de déterminer les 2 ou 3 sujets piliers à transmettre (si le public devait retenir 2 choses, qu’est-ce que cela serait ?).
Concrètement, pour débuter une prise de parole devant un public, il convient d’attiser la curiosité de son audience, de sorte à capter son attention et à la garder (car il ne s’agit pas de l’intéresser 2 minutes seulement).
Plusieurs possibilités existent pour interpeller avec une accroche (liste non-exhaustive) :
Une fois que vous connaissez votre contenu, ce qui fera la réussite de votre prise de parole réussie sera votre entraînement. Prendre la parole, c’est un peu comme monter sur scène. Il est préférable de vous vous entraînez encore et encore, jusqu’à ce que vous ne doutiez plus de ce que vous allez dire et qu’au moment de démarrer votre discours, vos mots sortent naturellement et vous permettent de renvoyer ce que vous souhaitez véhiculer, à savoir l’image d’une personne confiante et convaincue en ce qu’elle dit.
La répétition du début de votre discours passera avant tout par un “bonjour” énoncé avec la bonne intention. S’il est prononcé d’une voix tremblante, avec un faible volume sonore, un regard fuyant et des bras croisés, il ne mettra pas l’émetteur du message (l’animateur dans le cadre d’une formation Seven) dans de bonnes conditions pour la suite de sa prise de parole. En effet, son “bonjour” renverra à ses destinataires l’image d’une personne peu confiante. Pour qu’il prononce un “bonjour” pleine d’assurance, il peut s’imaginer être en condition réelle. À lui de prononcer son message comme s’il se tenait en face de son public, d’utiliser la diction, le débit, le volume sonore, l’articulation qu’il adopterait s’il était devant lui, d’accompagner son discours par la gestuelle adéquate, d’oser regarder ses différents interlocuteurs dans les yeux, de poser des silences si nécessaire.
Par un “bonjour” dit avec sourire et panache, on ressentira une personne motivée, passionnée, sincèrement contente d’être présente, capable de transmettre son dynamisme aux autres. D’ailleurs, lorsque chez Seven, nous sélectionnons nos experts pour des interventions en entreprises, nous nous assurons qu’ils sont alignés avec nos convictions, qu’ils partagent comme nous, le goût pour la transmission, l’envie de faire grandir les individus, la croyance profonde que chacun peut apporter à autrui. Avec cet état d’esprit, nous savons qu’ils vont naturellement être souriants, avenants, enthousiastes.
C’est un conseil qui peut paraître simple mais que nous sommes encore trop nombreux à ne pas appliquer correctement et ce de façon durable. D’ailleurs pour les besoins de l’article, prêtez-vous à l’exercice : respirez profondément et en pleine conscience, puis observez les effets bénéfiques qui se produisent.
Quand vous répétez votre introduction, entraînez-vous à vous concentrer sur votre respiration, à marquer des pauses, des temps durant lesquels vous allez inspirer posément par le nez, gonfler votre ventre, retenir votre respiration un moment puis expirer par la bouche pour évacuer le flux d’air que vous venez d’absorber. Essayez de respirer le plus lentement possible, d’utiliser au maximum votre diaphragme et de prendre conscience de la façon dont vous respirer. Naturellement, vous allez vous sentir relaxé.
Plus vous vous entraînerez, plus vous serez capable, le jour-J de poser votre respiration, même si le moment venu, il est fort probable que vous alliez plus vite. Mais malgré tout, en ayant travaillé en amont votre respiration, vous serez davantage en mesure de contrôler votre communication non-verbale.
Et pendant les quelques minutes qui précèdent votre intervention, n’hésitez pas à réaliser des courts exercices de respiration. Vous concentrer sur l’air qui rentre dans vos narines et l’air qui en ressort, vous permettra de faire le vide, d’induire un sentiment de calme et de faire redescendre votre rythme cardiaque.
”Bonjour et bienvenue, je m’appelle Antoine. Je vous demande de vous lever, de fermer les yeux, de mettre vos mains sur votre ventre…”. Avouez que ce début de formation a quelque chose de plus captivant qu’un “Bonjour, je m’appelle Antoine, j’étais pendant 5 ans dans l’entreprise untel, puis j’ai monté en grade, mené des projets plus complexes et changé pour une entreprise à taille humaine.” Si au lieu de s’attarder sur ce que l’on a fait, faisons actuellement et souhaitons faire, on se concentrait sur notre public et leur faisait faire une action simple et engageante. La probabilité de créer un meilleur ancrage et surtout de capter leur attention pour la suite sera plus forte. Telle est la force des ice breakers.
Ces courts exercices (de 5 à 15 minutes), que vous pouvez introduire dans toutes sortes de prises de parole (conférences, interviews, formations, etc.) permettront d’amener le public à prendre la parole, à vous partager leurs points de vue et à échanger entre eux. Prenant la forme de “jeu”, les ice breakers invitent l’audience du message à changer de posture : de passer d’un statut passif à actif. Pour ce faire, la consigne doit être suffisamment claire, sans non plus être trop facile pour que cela reste stimulant, ni trop complexe pour que les actions soient réalisables.
Si l’on prend un exemple d’une formation sur la maîtrise de son image, on pourrait tout à fait demander aux participants de se mettre en binôme, d’effectuer une recherche en ligne sur leur camarade et leur demander de présenter leur camarade à travers les informations visibles sur la toile. Autre exemple avec une formation sur la conduite du changement : des feuilles blanches sont distribuées aux participants, qui sont tous conviés à écrire sur le recto de la feuille “J’aime le changement” et à inscrire la même phrase sur le verso mais avec cette fois-ci leur main opposée. Par cet exercice, les participants se confrontent à un changement, certes simple à accepter et à adopter, mais cela reste un changement tout de même.
À la suite de ces exercices brises-glace, l’audience se sent en principe plus à l’aise et davantage prête à partager son avis. Commencer avec un ice breaker, c’est augmenter drastiquement ses chances de développer/renforcer un climat de confiance, d’augmenter la probabilité que les destinataires du message se souviennent de ce que l’on a fait et permettre à l’émetteur du message d’être plus à l’aise pour la suite de sa prise de parole. Et pour que l’impact soit plus présente, vous pouvez jouer sur la proxemie avec votre audience. L’ice breaker, c’est l’occasion de vous rapprocher physiquement des personnes à qui vous vous adressez, de briser la distance physique qui crée la sensation qu’il y a entre celui qui parle d’un côté et celui qui écoute.
Les ice breakers ont aussi pour fonction d’annoncer la couleur, autrement dit d’intégrer un lien avec la thématique générale de la formation. En soit, on pourrait comparer ces exercices brises-glace avec la littérature, qui dans les incipits (= débuts de livres) dévoilent plusieurs indices sur l’atmosphère générale du livre, les futurs thèmes abordés et les enjeux principaux. Prenez le début du roman Bel Ami écrit par Maupassant et publié en 1885. À travers la description de Georges Duroy, ce personnage malin et désireux de réussir, il est d’emblée question d’argent et de femmes puisque nous y retrouvons des champs lexicaux associés : “monnaie”, “pièce de cent sous”, “prix fixe”, “trois francs quarante”, “dépense”, “un franc vingt-deux bocks”, “caissière”, “les femmes” “trois petites ouvrières”, “une maîtresse”, “deux bourgeoises”.
Travailler ses débuts, c’est aussi intégrer ce qui sera le fil rouge de votre message. Peu importe votre prise de parole, rentrez tout de suite dans le vif du sujet et mettez en lumière les enjeux du message. Si votre public suit une formation pour être en mesure de mieux convaincre, démarrez en lui faisant expérimenter l’une des six lois d’influence définie par le psychologue Robert Cialdini (cf “Je vous demande à tous de vous lever, de fermer les yeux, de mettre vos mains sur votre ventre…”). C’est d’ailleurs ce que nous proposons en formation Seven et les retours de nos participants à ce sujet sont positifs. Beaucoup nous confient avoir aimé être plongés dans le bain immédiatement.
Pour capter l’attention d’un auditoire et le persuader lors d’une prise de parole en public, il existe un triptyque rhétorique sur lequel vous pouvez vous appuyer, et dont vous avez peut-être déjà entendu parler grâce au philosophe Aristote : le Logos, l’Ethos et le Pathos. Si le Logos désigne le fond de votre discours (autrement dit vos arguments, ce que vous dites), l’Ethos se réfère à ce que vous dégagez (soit votre communication non-verbale). Le Pathos, quant à lui, englobe les émotions que vous souhaitez susciter chez votre audience et comment vous comptez vous y prendre pour les provoquer. C’est sur ce dernier point que nous allons nous concentrer : le Pathos.
Suivant les sentiments que vous souhaitez déclencher chez autrui, c’est un Logos et un Ethos différents vers lesquels vous allez opter. Vous souhaitez que votre public ressente de l’agacement ? Peut-être allez-vous lui partager un certain nombre d’informations afin d’alimenter sa colère ? Trouverez-vous des arguments capables de toucher sa corde sensible ? Vous préférez que votre audience ressente plutôt de la peine ? Insisteriez-vous sur la situation “désastreuse” qui se présente à lui ? Adopteriez-vous un discours particulièrement descriptif ?
À prévoir en avance tout ce que vous allez dire avant une prise de parole en public, le risque est que vous soyez inconfortable si une situation que vous n’aviez pas prévu se réalise. Même si une prise de parole réussie, c’est une introduction de qualité savamment préparée, il faudra penser à introduire des moments durant lesquelles vous allez accepter que des situations nouvelles puissent émerger. Vous pouvez tenter d’anticiper les réactions de votre audience face à votre message et à vos consignes mais rien ne dit que vos prédictions se réaliseront toutes. L’être humain est imprévisible. Lorsque vous communiquez pour un public, essayez de lâcher du lest (plus facile à dire qu’à faire, direz-vous) ou du moins acceptez que le contenu de votre message puisse un moment être modifié, en fonction des réactions de votre audience.
Vous pouvez toujours identifier en avance les potentiels imprévus que vous pourriez rencontrer et réfléchir aux actions que vous pourriez mener si chacune des situations arrivait. La prévision de plans B vous rassurera d’une part et vous permettra d’autre part d’agir plus rapidement et de façon plus assurée si l’inattendu se présentait à vous. En observant les risques éventuels, vous constaterez qu’ils n’ont pas tous le même niveau de criticité et que suivant qu’il s’agisse d’un risque non-négligeable, négligeable, critique ou inacceptable (cf la matrice des risques), c’est une action plus qu’une autre qu’il conviendra de privilégier. Plus de conseils sur la prise de risques ici.
Enfin, dites-vous que les destinataires de votre message sont rois. Ils peuvent, à leur convenance, vous faire changer ce que vous aviez prévu de partager et il faut l’accepter. Mais vous pouvez très bien prendre les devants et leur offrir directement la liberté de choisir ce qui va se passer. “Quel exercice aimeriez-vous faire à présent ? Quelle durée vous semble la plus raisonnable pour l’effectuer ? Vous préférez que je vous raconte cette histoire ou celle-ci ?” Parce que l’audience a moins l’habitude de se voir interpeller, elle sera surprise de votre demande et davantage motivée pour vous partager ses préférences.
Avant une prise de parole en public, il est naturel d’appréhender mais il ne s’agit pas de faire s’installer cette appréhension. Celle-ci peut se transformer en adrénaline positive, puis céder sa place au plaisir d’être « sur scène » en train de présenter son message. Dans nos formations Seven, nos intervenants expérimentent la prise de parole en public. Quand le public est nouveau, que l’animation est un exercice encore récent pour eux (ce qui nous importe, c’est leur passion pour la transmission et leur expertise sur leur sujet), ils peuvent ressentir un instant ce tract mais rapidement ils comprennent que tout se joue dans les débuts. Quand nous les accompagnons, il y a Seven conseils que nous leur partageons et que nous allons ici vous partager parce qu’ils peuvent se prêter à différents cadres de prise de parole.
1/ Interpeller par l’accroche : Capter l’attention passera d’une part par le fond, le contenu même du message. Est-ce que celui-ci est surprenant, touchant, se réfère à une situation vécue ? D’autre part, attiser la curiosité passera par la forme. Est-ce que l’émetteur du message adopte la bonne posture, a une communication non-verbale qui témoigne qu’il est à l’aise ?
2/ S’entraîner : Un « bonjour » prononcé de façon pétillante renverra l’image d’une personne confiante, ravie de transmettre ce qu’elle sait à d’autres. Le mieux pour être à l’aise est de répéter seul(e) un « bonjour » devant son miroir. Cela peut paraître étrange, certes, mais c’est une aide considérable que nous ne pouvons que vous conseiller d’essayer (promis, on ne sera pas là durant votre session d’entraînement !)
3/ Respirer profondément : Pendant la répétition de votre introduction, entraînez-vous à marquer des pauses, à prendre le temps de respirer profondément. Osez faire des exercices durant lesquels vous respirez par le nez, retenez votre respiration un moment, puis expirez par la bouche.
4/ Proposer des ice breakers : Ces courts exercices invitent les participants à réaliser une action simple et engageante et donc à passer d’un statut passif à celui d’actif. Leur fonction : créer un climat de confiance, mettre à l’aise l’audience pour qu’elle souhaite d’elle-même prendre la parole.
5/ Annoncer la couleur : Durant l’introduction, il s’agit comme dans les livres, films ou séries, de faire comprendre à son audience quels seront les enjeux principaux du message.
6/ Provoquer des émotions aux lecteurs : Après le logos (le fond de votre message) et l’éthos (ce que vous dégagez, votre communication non-verbale), vient le pathos qui consiste à provoquer des émotions bien spécifiques chez votre audience. Chacun, selon le message qu’il a à délivrer, veillera à évoquer les bons arguments et ce avec la bonne attitude pour susciter les émotions qu’il souhaite faire déclencher chez son audience.
7/ Accepter de ne pas tout maîtriser : Travailler ses débuts ne signifie pas un refus d’imprévus. Il y en aura forcément qui arriveront, donc autant s’y attendre. Le mieux bien sûr est d’identifier les potentielles situations que vous pourriez rencontrer pour imaginer des plans B. Cependant, vous ne pourrez pas tout deviner. Ce que vous pouvez faire : prendre le contre-pied et solliciter directement votre audience pour savoir ce qu’ils souhaitent. Vous les surprendrez positivement et ces derniers seront plus enclins à participer.
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