Comment accepter le changement ?

Conduite du Changement

Réflexion

29 Juillet 2022

Crédit photo : Markus Spiske

“Les gens veulent tout changer et, en même temps, souhaitent que tout continue uniformément.” Cette citation de Paulo Coelho, romancier brésilien, illustre parfaitement le paradoxe des Hommes : d’un côté, ils sont demandeurs de nouveautés et de l’autre côté, ils sont réticents lorsqu’il s’agit d’accepter quelque chose d’inattendue. La série à succès “Friends” est un parfait exemple du premier cas de figure. Les spectateurs que nous sommes se seraient vite ennuyés si les 6 amis new-yorkais avaient rencontré les mêmes difficultés à chaque saison, fréquenté les mêmes personnes, conservé le même physique tout le long, gardé la même situation socio-professionnelle, etc. Heureusement pour nous, ils ont connu des péripéties qui venaient bouleverser le cours de l’histoire et qui nous maintenaient en haleine.

Si les exemples d’enthousiasme aux changements ne manquent pas, les réticences sont aussi nombreuses. Lors d’une situation imprévisible, nous développons naturellement une appréhension. Nous commençons alors à nous imaginer les pires scénarios possibles, nous regrettons nos anciennes habitudes et tardons parfois à accepter le changement (voire ne l’acceptons pas du tout). Pourtant, nous affrontons régulièrement des bouleversements : déménagement, prise de poste dans une nouvelle fonction, début d’une nouvelle activité sportive…

Nous vous proposons de décrypter les comportements des individus lors d’un changement subit et d’aborder les meilleures attitudes à développer lorsque nous désirons accompagner une connaissance, un collègue, un ami, un membre de notre famille dans l’acceptation d’un changement.

1/ Pourquoi appréhendons-nous les changements ?

  • Par peur de l’inconnu

  • Lorsqu’un changement nous arrive de façon inattendue, il est normal d’éprouver de la méfiance et d’en avoir peur. Ce qui nous effraie en réalité, c’est l’inconnu qui peut impliquer une absence de contrôle et une mise à nue. Ne nous y étant pas préparés, nous ne savons pas à quoi nous attendre, ce qui génère en nous un sentiment d’insécurité. Pour nous protéger face à cet avenir flou, nous développons des pensées négatives dans lesquelles nous envisageons le pire ou encore nous nous efforçons d’accepter le changement à contre-cœur : “Je n’ai pas d’autres choix que de prendre ce chemin.”, “Je n’ai pas de chance de toute façon.”, “Cela doit être le destin.” prononçons-nous parfois.

  • Par préférence pour les habitudes

  • Un changement exige de modifier ses habitudes, de rompre avec sa stabilité, de quitter son confort actuel, de déconstruire ce à quoi l’on s’était familiarisé. Par réflexe, on se dit que ce que l’on avait coutume de faire était mieux avant, et qu’en suivant une nouvelle méthode, on est privé d’un avantage : “on a toujours fonctionné de la sorte et ça nous a toujours apporté de bons résultats”. Ainsi, par comparaison avec nos habitudes, nous refusons d’agir en faveur du changement. Préférons faire ce que nous aimons et ce qui nous parait facile en premier (c’est le principe de la loi de Laborit), le changement se présente comme opposé à la satisfaction créée par nos habitudes.

  • Par manque de temps

  • Changer nécessite de modifier des habitudes installées, d’en développer de nouvelles, de se familiariser avec celles fraîchement établies, de les tester et de les adopter définitivement. Ce processus demande plus ou moins du temps et de l’énergie selon la personnalité des individus et la situation qu’ils rencontrent. Sachant par avance qu’une transformation va exiger d’y consacrer du temps et de l’énergie, nous préférons parfois ne pas mener les actions appropriées ou les repoussons parce que nous jugeons que ce n’est pas le bon moment. Mais existe-t-il vraiment une période idéale pour initier un changement ?

2/ Pourquoi y-a-t-il des changements que nous acceptons avec plaisir ?

  • Nous l’avons préparé.

  • Dans une autre mesure, l’inconnu peut être perçu positivement. C’est le cas par exemple lorsque l’on s’apprête à réaliser un tour du monde en caravane pour six mois avec une personne qui nous est chère. Lorsque nous rencontrons cette situation, nous savons certes que nous sautons vers l’inconnu, que nos habitudes et nos croyances limitantes seront bousculées, mais sommes malgré tout volontaires à ce changement.

Ce qui génère notre enthousiasme au changement, c’est notre préparation ! En amont, nous avons économisé assez pour partir six mois sans travailler, nous avons planifié les différentes étapes de notre itinéraire, nous avons identifié des personnes de confiance pour surveiller notre maison, nous avons fait l’acquisition d’une caravane de qualité. Préparer ce voyage a développé en nous un sentiment de sécurité.

  • Nous pensons aux opportunités.

  • L’adhésion au changement dépend en grande partie du regard que nous portons sur lui. En adoptant une vision optimiste, en pensant aux bienfaits, nous accélérons notre acceptation.

L’entreprise dans laquelle vous êtes actuellement vous annonce un déménagement des locaux dans un quartier de la ville située à l’opposé de votre domicile. Alors que vous mettez actuellement 30 minutes en transport pour vous rendre au travail, votre temps de trajet va être multiplié par deux et passer à 1h. En prenant uniquement en compte cet aspect-là, l’acceptation du changement risque d’être longue !

Et si vous modifiez votre perception et observiez plutôt les opportunités offertes par ces nouveaux bureaux ? Peut-être sont-ils situés dans une rue où le nombre de bons restaurants ne manquent pas ? Peut-être proposent-ils des cours de sport tout au long de la journée ? Peut-être qu’une crèche est installée au pied de l’immeuble ?

  • Les conséquences sont minimes dans notre vie.

  • Si vous croisez les bras, puis que nous vous demandons de faire exactement la même chose dans l’autre sens cette fois-ci, vous allez certes être surpris par cette deuxième consigne mais le ferez. Cette action est peu habituelle mais vous allez tenter l’expérience car cela représente pour vous un challenge, vous amuse peut-être et n’a aucune incidence sur votre vie. Une fois l’exercice réalisé (si cela vous démange), vous allez poursuivre la lecture de cet article comme avant, éventuellement faire faire l’exercice à des personnes de votre entourage.

En revanche, si nous vous demandons de changer radicalement de style vestimentaire au travail alors que vous aviez jusque-là l’habitude de porter ce que vous souhaitiez, ce changement risque de vous affecter davantage. Il faudra d’une part que vous fassiez des achats de nouveaux vêtements ou cherchiez dans votre garde-robe. Trouvant le style vestimentaire imposé allant à l’encontre de votre personnalité, vous aurez l’impression de ne pas pouvoir être vous-même. Progressivement, vous vous habituerez mais en comparant avec le croisement des bras dans l’autre sens, les conséquences de cette nouvelle garde-robe sur votre vie seront plus fortes.

3/ Comment nous comportons-nous lorsque nous subissons un changement ?

  • La courbe du changement

  • Lorsque nous sommes confrontés à une nouveauté, nous passons par plusieurs étapes. On parle alors de courbe du changement, aussi connue sous le nom de courbe du deuil : une théorie développée par le Dr Elizabeth Kubler-Ross. Cette psychiatre a observé la façon dont se comportaient les personnes en fin de vie à l’annonce de leur situation de santé qui se dégradait.

Ses observations l’ont amenée à construire une courbe sous deux axes : le temps en abscisse et l’énergie en ordonnées. À partir de là, c’est une courbe en V avec 5 instants forts qu’elle a identifiés : le déni et la colère qui représentent la phase descendante de la courbe, la prise de conscience qui correspond au moment de l’inversion de la courbe, et enfin la résignation et l’acceptation qui représentent toutes deux la phase ascendante. Décomposons chacune des étapes ci-dessous.

  • Le déni, le choc

  • Naturellement, lorsqu’on nous apprend un événement nouveau et bouleversant, nous développons un mécanisme de protection et passons par une phase de déni. Celle-ci peut être très courte et donc durer quelques secondes, ou encore s’allonger quelques minutes, plusieurs jours, voire pour certaines personnes durer des années. La durée du déni est propre à chacun.

Si vos parents vous annoncent que leur chien est décédé, que vous aviez toujours été proche avec lui, et le connaissez depuis que vous aviez votre plus tendre enfance, l’attachement avec cet animal est tel que le déni risque de durer un peu. À l’inverse, si vous n’aviez jamais passé des moments seuls à seuls avec ce chien et l’avez vu dans votre vie quelque fois, votre attachement étant plus faible, la phase de déni risque devrait être courte pour vous.

Le déni peut s’accompagner de phrases comme “non, mais ce n’est pas vrai”, “tu plaisantes”, “je ne peux pas y croire”. Lorsque l’annonce est considérée comme très forte, nous pouvons même arrêter de parler, ne montrer aucune émotion, voire figer notre corps.

  • La colère, le refus

  • Après le déni et donc après avoir pris conscience que la nouvelle était vraie, arrive la phase de colère : étape au cours de laquelle vous refusez le changement et ne souhaitez pas mener des actions en faveur de cette situation.

Prenons l’exemple de l’abaissement de la vitesse maximale autorisée sur les routes où la mortalité est la plus forte, avec un passage de 90 à 80km/h. À sa mise en application le 1er juillet 2018, beaucoup de personnes ont contesté cette mesure : “Je n’ai jamais eu d’accident à 90km, je ne vois pas pourquoi je changerai ma vitesse habituelle”, “Je vais manifester contre cette mesure car je trouve que c’est un manque de temps à gagner pour tous les automobilistes et une façon d’augmenter le nombre d’amendes.”

Cette étape, plus longue en principe que le déni, possède une durée variable selon les individus. Ces derniers ne sont pas prêts à entendre les arguments des personnes favorables au changement (car ils sont à l’opposé de leurs idées) et ne font pas encore l’action de se remettre en question. Les plus réfractaires peuvent y rester très longtemps voire à jamais, ce qui n’est pas sain pour eux.

  • La prise de conscience

  • La phase de colère s’arrête lors d’une prise de conscience. C’est un déclic qui nous fait comprendre qu’il est temps pour nous d’aller de l’avant, d’agir. Il peut se matérialiser de différentes façons. Dans certains cas, c’est une nouvelle information reçue, un argument jusque-là jamais employé qui nous amène à mener le changement (même si nous ne sommes pas encore convaincus à 100%). Pour ceux qui contestaient le port du masque en période covid, l’amende en cas de non-port a été pour certains un facteur motivant.

Le déclic peut également se développer à la suite de discussions. Des échanges avec des amis très proches ou des psychologues pourront vous faire prendre conscience de la situation et de l’importance de changer. Ils ne vous dresseront pas d’actions précises, mais à force d’écoute active, de reformulations et de questions pertinentes, ils vont inviteront à revoir votre argumentation de base et vous encourageront à avancer vers le changement afin que vous alliez mieux.

  • La résignation

  • Désormais en route vers l’acceptation, vous commencez à mener des actions en faveur de cet événement. Certes, votre motivation n’est pas au beau fixe, mais vos efforts sont présents.

Imaginons que vous aviez récemment appris le départ de votre binôme de travail. Au départ très surpris, vous n’osiez pas le croire et aviez demandé plusieurs fois si c’était bien vrai. Le déni étant passé, vous êtes rentré dans une phase de colère : vous ne voyiez pas comment vous organisez sans lui, étiez déçu de ne pas avoir été prévenu plus tôt. Puis, un jour, vous avez compris qu’il ne reviendra pas et qu’il était nécessaire de trouver une solution. C’est alors que vous avez accédé à la phase actuelle : la résignation. Au cours de celle-ci, vous listez vos différentes options : déléguer quelques-unes des missions de votre ancien binôme à des collaborateurs en poste le temps de trouver un remplaçant, prioriser vos missions, mettre à jour la fiche de poste pour les candidats au poste, vous impliquer dans le processus de recrutement. Vous menez ces actions avec résignation et avez hâte de trouver un binôme correspondant à votre recherche.

  • L’acceptation

  • Place enfin à la dernière étape : l’acceptation. Tourné vers l’avenir, vous n’avez plus de rancune envers la situation. Vous n’observez désormais que des bienfaits à ce changement, le regardez sous un angle positif, et trouvez la situation actuelle meilleure qu’elle ne l’était auparavant. Finalement, cet événement a été pour vous l’occasion de vous améliorer, de mettre en place de nouvelles mesures, de prendre conscience des faits.

Au début anxieux à l’idée de voir votre ancien manager remplacé par un nouveau n’ayant jamais travaillé dans le secteur d’activité de l’entreprise, vous trouvez à présent que sa venue a apporté des idées neuves, a renforcé l’esprit d’équipe, et a augmenté les performances de chacun.

4/ Comment accompagner une personne expérimentant un changement ?

Si vous souhaitez accompagner une personne vivant un changement non prévu, vous pouvez l’aider en adoptant un comportement approprié selon l’étape où elle se trouve sur la courbe (dans le déni, en colère, résignée, tournée vers l’avenir).

  • Dans le déni => Laissez-lui du temps

  • L’un de vos amis proches nie avoir des difficultés financières, change de sujet si on lui en parle. Pour se protéger de la douleur et parce que la réalité le rend mal à l’aise, il continue les voyages expansifs, les sorties au restaurant, les activités le week-end. Face à cette attitude, vous pouvez tout d’abord lui laisser du temps. Peut-être qu’il va admettre prochainement la situation délicate dans laquelle il se trouve ? Car après tout, le déni est un processus naturel lorsqu’une situation de choc arrive.

Cependant, si vous constatez que sa phase de déni s’éternise et que les choses commencent à devenir problématiques (paiements refusés, emprunts d’argent à ses proches, recommandés, etc.) pour lui et les autres, il est nécessaire d’échanger avec lui en lui expliquant la situation actuelle, les potentiels risques si rien n’est fait et la nécessité de vivre autrement. Si toutefois discuter avec lui ne change rien, laisser d’autres personnes de son entourage ayant une influence sur lui essayer. Et si rien ne change malgré tout, un professionnel pourra alors intervenir.

  • En colère => Faites preuve d’empathie

  • Votre ami est désormais passé outre cette phase de déni et se trouve maintenant dans un état de colère et de refus face au changement. “Je ne me vois pas vivre en oubliant la partie plaisir”. “Je ne trouve pas juste que certaines personnes parce qu’elles sont mieux accompagnées et aidées, n’aient aucun souci financier.“

Dans cette phase, votre ami se plaint, rejette la situation sur les autres, pointe les injustices qu’il observe. Pour l’accompagner, vous pouvez faire preuve d’écoute active, mettre de côté votre jugement et veiller à ne pas aggraver sa colère. Votre objectif ici : comprendre pourquoi il est actuellement énervé et rejette la nouvelle situation afin qu’il réalise de lui-même que de nouvelles mesures doivent être prises. Vos discussions sont en fait une voie vers la prise de conscience qui fait inverser la courbe du changement.

  • Résignée => Félicitez-la

  • Lorsque le déclic a opéré et que votre ami a compris que pour avancer, il se devait d’aller de l’avant, à vous de le féliciter ! Il est en train de définir des prochaines actions en faveur du changement ou mène actuellement des mesures. Valorisez les efforts produits jusque-là.

Votre ami a revu son itinéraire de vacances et mis en place un tableau pour suivre ses comptes. Ce sont deux actions qu’il ne menait pas auparavant et qui sont positives. On pourrait parler de petites victoires. Optez pour les paroles encourageantes comme “Bravo !”, “C’est bien ce que tu fais, tu évolues.”, “Tes premières actions ont déjà porté leurs fruits, je suis sûr.” Votre soutien aura pour effet d’augmenter la motivation de votre ami et lui permettre d’accéder plus vite à l’étape 4 : l’acceptation.

  • Tournée vers l’avenir => Enumérez avec elle les enseignements !

  • Votre ami a accepté le fait qu’il ne pouvait plus dépenser son argent comme avant. Grâce à ses nouvelles habitudes, il se rend compte qu’il a progressé en comptabilité, est devenu plus organisé et plus réaliste. Il s’est mis à faire attention aux produits qu’il achetait, à préparer de bons petits plats, à inviter ses proches à dîner et à visiter les régions qui l’entouraient. Il n’a pas l’impression de manquer de quelque chose mais au contraire d’être gagnant par les nombreuses découvertes et les qualités humaines qu’il a pu développer. Pour l’accompagner, vous pouvez énumérer avec lui les enseignements de ce changement.

En conclusion :

Changer fait partie intégrante de nos vies, c’est même quelque chose qui nous est familier. “Rien n’est permanent, sauf le changement. Seul le changement est éternel” affirmait le philosophe grec Héraclite. Gardons à l’esprit cette pensée ! Cependant, bien que nous vivions régulièrement des situations mouvantes dans la vie, nous avons au départ une réticence et pouvons mettre du temps à mener le changement. Lorsque ces faits nous arrivent, nous passons le plus communément par les 4 étapes de la « courbe du changement » : le déni, la colère, la résignation et l’acceptation. Suivant le contexte et la personnalité des individus, la durée de chacune d’elles va différer.

À l’annonce d’un événement inattendu, nous sommes surpris, n’y croyant pas et passons, à notre rythme, dans une phase de colère et de rejet. A l’inverse, il existe des situations nouvelles que nous acceptons volontiers : quand les conséquences sur notre vie sont minimes, quand nous pouvons anticiper ce qui va se produire, quand nous adoptons une vision positive.

Mais lorsque les changements sont non voulus, nous pouvons rester longtemps dans cette période de colère. Seuls un boost, une nouvelle information reçue, une introspection, une discussion avec un proche ou autre déclic, inverseront notre philosophie. Dès cette prise de conscience, nous passons par la résignation et menons des actions même si nous n’avons pas accepté la situation à 100%. Au fur et à mesure des résultats obtenus, notre motivation grandit et nous entrons en acceptation : nous sommes tournés vers l’avenir et percevons le changement comme positif grâce à tout ce qu’il nous a appris.

Initier des actions en faveur du changement n’est pas une mission aisée. Lorsque l’on souhaite aider une personne à adhérer (plus rapidement) à un changement, nous pouvons agir en adoptant un comportement différent selon l’étape de la courbe du changement dans laquelle elle se trouve. Si elle est dans le déni, on peut lui laisser du temps, si elle est en colère, on peut l’écouter, si elle en résignation, on peut la féliciter de ces premières actions menées, si elle a accepté la situation, on peut énumérer avec elle les enseignements.

Si vous souhaitez lancer un changement et accélérer la durée de chacune des étapes afin que vos destinataires soient plus vite dans l’acceptation, nous vous recommandons de suivre les 8 étapes de Kotter et de vous renseigner sur la burning platform (nous écrirons prochainement un article à ce sujet).

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